Boris et Natacha, Jean Naty Boyer

Dans la forêt blanche d’Ukraine

Glisse une blanche troïka

Dans le silence elle promène

Petit Boris et Natacha

Refrain

Raconte-nous, petite mère,

Jusqu’à demain

Ils rencontrent la zibeline,

Le renard bleu et puis le loup

Si vous allez chez la Tsarine

Voulez-vous nous prendre avec vous ?

Refrain

Nous n’allons pas chez la Tsarine

Nous retournons à notre isba

Loup et renard et zibeline

Sont montés dans la troïka

Refrain

Et tous ensemble, ils s’en reviennent

Serrés pour ne pas avoir froid

Dans la forêt blanche d’Ukraine

Avec Boris et Natacha

1. Camouflés dans la savane

Nous guettons les éléphants

Imposante caravane

Grandes oreilles en mouvements.

Refrain

Cachez-cachez-vous !

Ne faites pas de bruit ! (x4)

2. Plus loin, blotti dans la brousse

A l’abri d’un baobab

Un gros lion qui se réveille

Calmement bâille et rebâille.

3. Une compagnie de zèbres

Passe devant nous au galop

Préparez vos appareils

Nous prenons une photo.

4. Sortant de la jungle épaisse

Le tigre va lentement

Boire quelques lapées d’eau fraîche

Dans la chaleur du couchant.

Refrain

C’est le chant des animaux, wo__o_o

Admirez ce numéro, wo__o_o_o

(bis)

1.

Je suis l’éléphant

Je marche lourdement

Sur mon dos une écuyère

Se balance toute légère

Refrain

2.

Nous sommes les chevaux, les juments

Nous dansons la crinière au vent

Nous croisons nos pattes arrière

Les sabots dans la poussière

Refrain

3.

Nous sommes les plus effrayants

Tigres ou tigresses aux longues dents

Silence autour de la piste

Ou nous sortirons nos griffes …

Refrain

1.

Un funambule dans une bulle

Marchait à petits pas

Un pas par-ci, un pas par-là

Un pas par-ci, par-là

Je vais dit-il cueillir la lune

Ce soir elle est si brune

2. Ce funambule dans sa p’tite bulle

S’est avancé tout près

Un pas par-ci, un pas par-là

Un pas par-ci, par-là

Madame la lune vous êtes si belle

Je vois des étincelles

3. Le funambule, dans sa p’tite bulle

Est revenu vers moi

Un pas par-ci, un pas par-là

Un pas par-ci, par-là

Jamais dit-il je n’la prendrai

Elle est bien où elle est

Mais j’irai la voir tous les soirs

C’est là mon seul espoir.

Je lance en cadence,

Je relance, je balance

J’attrape, je rattrape, les balles en silence

Je jette, je projette,

Là rien ne m’arrête

Deux, trois, quatre, ou cinq mètres, et je deviens le maître.

Le maître du feu, le maître du jeu

Les flammes des torches lèchent le bout de mes doigts

Elles changent de couleur et dansent de haut en bas

Sans jamais par malheur faire un petit faux pas

Le jongleur n’a pas peur,

Et font de la voltige

Hourra ! Les clameurs

Viennent à mes oreilles

Encouragent mon cœur à offrir des merveilles

Des formes vagabondes

Des formes toutes rondes

Dessinent dans l’espace des traces qui s’effacent

Elles changent de couleur et dansent de haut en bas

Sans jamais par malheur faire un petit faux pas

Le jongleur n’a pas peur,

Et font de la voltige